Parce qu’il ne faut pas tout dire, encourager à comprendre, et laisser le champs libre à l’imagination, c’est l’histoire poétique, sans dialogues, mais musicale et très visuelle d’un Pantin qui cherche sa place, évolue dans un cirque représentatif de la société.
Un Pantin, au début de l’histoire, inanimé, qui rêve d’un ailleurs, qui rêve de s’envoler, d’oser aimer et de se libérer.
Une fable sous la forme d’un conte musical de douze tableaux, qui représente le spectacle d’un soir d’une troupe de cirque sous son chapiteau.
Que faire quand on est un pantin manipulé chaque soir pour un numéro de cirque, pourtant doué d’une conscience, mais qui ne peut ni bouger ni faire « son propre numéro », celui d’un être qui rêve de voler, d’aimer, de se sentir libre comme tous ? Que faire quand on commence à ressentir, à éprouver et même à se projeter quand on est toujours prisonnier d’une boîte, de fils, de manipulateurs et même d’un public qui le juge chaque soir ? C’est à travers cette succession de tableaux musicaux, qui correspondent le plus souvent à des numéros de cirque bien distincts, que le Pantin va expérimenter les principaux sentiments, tour à tour les principales sensations, émotions humaines, telles le rejet, la peur, l’injustice mais aussi l’admiration, le désir, la confiance et l’amour, appréhender la vie en quelques sortes. Ces expériences vont-elles lui permettre, petit à petit, aidé par des personnages hauts en couleurs, de briser ses chaînes (ses fils), d’aller au delà de son enfermement pour enfin pouvoir s’animer, se sentir libre, faire son propre numéro ?
Parce que la vie peut être un cirque, où chacun joue son rôle et que l’on peut encore croire en la magie et en l’amour. Une histoire universelle et intemporelle principalement pour les enfants mais aussi les plus grands avec plusieurs niveaux de lecture. Parce que la vie peut être un cirque, où chacun joue son rôle.
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