LA PART DU PAYSAGE
Série documentaire d’Arnaud Jamin
avec l’appui des Parcs naturels régionaux de France
Le tout récent film PAYSAGE pour les 30 ans de la loi paysage, florilège de mes sept ans de travaux audiovisuels avec les Parcs naturels, qui donne le ton du film “la part du paysage” est là :
Un best-of Inventer Demain :
C’est l’histoire de Piel, citadin qui vit dans un monde virtuel, hyper-connecté et même assisté par une intelligence artificielle effective et qui se pose des questions, recherche un équilibre, décide un jour de tout plaquer pour partir sur les routes de France qu’il va traverser à pieds, à vélo, à dos d’âne… Piel vit sa transition, sa transformation et après plusieurs expériences concrètes dans le monde réel, finit par vivre en cohérence avec lui-même et son milieu; son paysage.
le Pitch :
Moi, c’est Piel, la trentaine, jeune papa et enfin décidé à habiter cette terre. Mais où et comment habiter ? Comment habiter le paysage, mon paysage ? Et le paysage, tiens, est-ce une carte postale ou, au-delà, tout ce qui m’entoure ? Et peut-être même une seconde peau ? c’est décidé, je quitte la ville et pars là où j’ai le plus de chances de trouver ce que je cherche : sur les routes de France, à travers les Parcs naturels, décidé à m’inspirer, à me nourrir, à comprendre pourquoi et comment je résonne avec mon milieu pour mieux habiter mon paysage, savoir qui je suis et où et comment j’ai envie de voir grandir mon fils.
Vous est-il déjà arrivé cette chose étrange, une manifestation physique, une chose qui se révèle, sous vos yeux, comme une évidence ? Ça m’est arrivé un jour et ça m’a changé la vie : c’était l’année du bac, une année pleine, pleine de tout, un tout émotionnel, mental… beaucoup trop, sûrement. Je vivais alors en Bretagne et pour évacuer ce trop-plein j’avais pris l’habitude d’aller marcher sur la plage, puis de monter au Cap Fréhel, le visage au vent, sentir le brise sur ma peau, les embruns avaient ce pouvoir de me changer les idées, de me revigorer. J’ai remarqué, lors d’un retour d’une de ces balades salvatrices, empruntant le même chemin, suivant les traces de pas laissés sur le sable à l’aller, que mes traces du retour étaient moins profondes… c’était clair j’étais plus léger… mon empreinte sur le paysage était moindre.
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